Certaines d’entre vous ont dû, ou doivent, se demander pourquoi nous étions arrivées à 500 start-up listées il y a quelques mois, alors que nous voici à 453 (e-boutiques comprises)…
C’est simple, il se trouve que j’ai fait un peu de ménage à la fin de l’année 2013, parce que, comme dans toute entreprise, les échecs et autres aléas font aussi partie du chemin. Il m’a donc fallu parcourir et cliquer sur chaque lien dans les trois listes spécifiques de sites Internet créés au féminin, afin de constater les éventuels départs (abandon, transformation, rachat ou changement de nom). Voir le billet de l’époque.
Ce début 2014 semble avoir été moins dynamique que les années précédentes concernant les startups fondées par une femme (ou plusieurs). Même si quelques nouveautés ont été relevées.
Par ailleurs, étant toute seule à gérer cette modeste mise en lumière de startupeuses, et ayant d’autres points d’accaparement professionnel donc de TEMPS, il est évident que je ne peux me consacrer de manière régulière à ce blog.
Néanmoins, je ne perds pas de vue les créatrices numériques et compte bien rester fidèle à mes topos.
De plus, n’hésitez pas à découvrir également la liste des co-fondatrices de start-up du Web, qui sont au nombre de 43 pour l’instant.
Enfin, pour celles que cela intéresse, je m’efforce de maintenir la version anglaise, même si le temps manque (mais ça, je crois que tout le monde l’aura compris). Cette version internationale sera actualisée dès que possible, particulièrement au niveau de l’annuaire.
J’attends maintenant que s’étoffe le nombre de start-up made in women pour en parler (en juin, c’est promis).
En attendant, FW vous souhaite un très joli mois de mai et de beaux brins de muguet.
À bientôt
Arpanénette